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Oued El Oukrif

                Petit, j’allais avec ma mère au Hammam, le bain maure. Le hammam était celui du Drouj ou de l’escalier… Pour moi, aller au hammam était un vrai supplice. Ma mère n’y allait pas de main douce pour me laver d’une manière maladive. Elle commençait d’abord à me frotter avec une pierre ramassée dans la nature et choisie de façon qu’elle soit rugueuse donc efficace, pour elle … Après m’avoir rincé du produit de l’opération de la pierre bombée et oblongue, elle m’entama deux fois de suite au gant de tissu. Ensuite elle se retournait à mes cheveux pour les savonner une fois au savon de Marseille et une autre par un savon parfumé, elle les finit avec un shampoing qu’on appelait celui des œufs et je croyais qu’il était confectionné avec du jaune d’œuf de vue sa couleur et la couleur de sa bouteille en plastique. Il portait la marque OLANDA . Enfin elle me savonne tout le corps une fois au savon de Marseille et une dernière fois au savon parfumé… Et c’est dans cette dernière opération que je me trouve soulagé car le moment de sortie pour moi était proche… Elle me fait sortir à la grande salle pour me faire assoir sur des larges bancs en bois disposés le long du mur accolés l’un à l’autre sur leurs longueurs car pour les hommes ces bancs seraient déplacés pour être disposés au droit du mur pour permettre aux hommes de s’allonger. Un privilège qu’avaient les hommes par rapport aux femmes en raison peut être des enfants. Elle me fait rhabiller alors et alla finir sa propre toilette. Pendant ce temps, moi, je sortais du Hammam pour vadrouiller devant la porte.… Ce bain qui était mal éclairée à l’intérieur qu’à l’extérieur la nuit renvoyait à un compte de Mille et une nuit. Il était tenu par un homme très brun presqu’un noir, il ne se voyait jamais dans la ville en dehors du Hammam, un marocain disait-on. La tenancière pour les femmes était une femme aussi noire d’un visage et attitude très sévères surtout avec les enfants. Je ne sais pas s’il y avait un lien de parenté entre le tenancier et la tenancière. 
Quand j’ai grandi un peu et j’allais à ce bain soit en accompagnant mon frère qui avait des instruction fermes et insistantes de ma mère de me faire laver comme ils se doit selon son cérémonial et après, quand j’y allais seul et souvent car j’ai hérité de ma mère malgré moi son obsession du Hammam malgré moi et le comble jusqu’à ce jour je m’adonne moi-même au même cérémonial maladif sauf le chapitre de la pierre qui a tardivement sauté, alors j’en ai vu des choses dans ce Hammam. Le hammam était un lieu de rencontre de toute catégorie de la société. Mais ce côté-là de ma vie ne relève plus de mon enfance et cette innocence insouciante.. Le hammam et depuis sa création à Baghdâd surement selon le type romain des thermes constituait un vrai mur de Facebook de toute la société…
En fait notre bain était au bas d’un escalier qui était large de trois mètres composé d’une trentaine ou plus de marche haute de trente centimètres chacune. . On lui descendait à partir d’une rue et arrivé au bas de l’escalier, le bain s’ouvre à mi-chemin d’une pente qui va jusqu’à le lit d’un oued, l’’Oued Oukrif ou celui du ‘’ veau ‘’. L’escalier s’arrêtant au bain et la descente continue par un sentier en terre battue sur le versant de l’Oued jusqu’à une source cachée par des buissons probablement de lauriers roses. Cette source était appelée Ain Fatha. Cette descente au-delà de la fin de l’escalier m’était strictement interdite par ma mère quand j’allais avec elle et je ne savais pas pourquoi. C’était le mystère qui s’ajoute à celui du bain qui se trouvait là, comme dernière construction à la limite d’une partie de la ville car l’autre partie étant située dans l’autre rive de l’Oued…
Ain Fatha : Ce n’est que par la suite que j’ai su que l’interdiction d’aller à cette source, Ain Fatha était dû justement à sa réputation. Ain Fetha avait une réputation assez particulière et selon cette réputation elle a connu deux périodes. La première période était celle ou les bars étaient autorisés, et là Ain Fatha était le refuge idoine et loin de tous les regards d’une dizaine d’alcooliques notoires dans la ville.. Ils venaient à cette source pour consommer surtout de l’alcool à bruler car non seulement les spiritueux étaient hors de leur portée mais aussi pour trouver dans l’alcool à plus de 90° un liquide pour satisfaire leur accoutumance aggravée d’année en année. Ces alcooliques étaient en général âgés et étaient pris presque pour des malade mentaux dont la damnation de l’alcool leur fait perdre la tête Et souvent ils faisaient du tapage à leur manière dans la ville sous l’effet de ces quantités d’alcool ingurgitées.. Et l’alcool ici, est pris au sens propre du terme c’est à dire qu’il s’agit de l’alcool à bruler à 90°.
La deuxième période d’Ain Fatha, survint quand par décision administrative, on a tout bonnement interdit le commerce des boissons alcoolisé dans le wilaya dont notre ville est le chef-lieu. Encore une autre aberration… Malgré le mode gouvernance du pays qui était du type régalien par excellence, il se trouve qu’en matière d’alcool, la wilaya s’est retrouvé avec un pouvoir d’un état dans l’État de sorte que dans toute les wilayas limitrophes, le commerce da la « boisson sucrée » comme dirait l’autre, était libre quand dans notre ville il était strictement interdit au point d’être tout bêtement emprisonné pour ce commerce devenu illicite dans cette partie du même pays. Incroyable mais vrai. C’est dans cette période que les jeunes habitués des bars ont commencé à consommer leur boissons à la sauvette vendus par des vendeurs illicites aussi à la sauvette. Ce sont nos années de prohibition à l’américaine avec tous ce que s’ensuit comme réseau de gangs et barons de l’alcool. Ainsi parmi nos barons il y avait ceux qui circulaient en voiture de luxe et avec garde-du-corps, je veux dire des gorilles…Je cite ‘’ Tonus ‘’ . Tonus était un jeune assez particulier, sa vie était liée en grande partie à celle de son père dans son enfance. Son père le gardien du nouveau stade qui a n’a pas réussis à détrôner la légendaire réputation de Safa à l’ancien stade et son fameux lastak, un lance pierre dont son manche disait-on était gigantesque donc le projectile dévastateur. Maamar le père de Tonus, a eu la chance d’habiter dans le nouveau stade, et il y est resté longtemps même après sa retraite. Tonus, son fils a commencé par un métier que lui-même a inventé et pourtant ce métier qui a gagné notre société ces dernières années et qui est devenu officiel avec registre de commerce et tout ce qui suit, c’est le traiteur. C’est-à-dire organiser des fêtes. Il a commencé à le faire avec des jeunes de familles de responsables pas nécessairement riches et ainsi il devint l’homme incontournable pour toutes les fêtes à caractère privé arrosées avec de limonade et des tartes au début, ensuite ile est passé au stade le faire avec des apéritifs et tout ce qui s’ensuit.. Et petit à petit il découvrit le filon d’or enfui sous le l’interdiction des boissons alcoolisées et finit par être le fournisseur exclusif à la fois de la Haute et basse frange de la société. Et profitant d’une aubaine tribale, il s’est installé dans les terres de ses ancêtres à la limite de la ville étant descendant des deux seules tribus qui ont leur territoire limitrophe à la ville. Il a réussi à corrompre tout le monde. 
Et tout a commencé petit à petit et progressivement pour que toute la ville soit infestée de ces petits brigands avec leurs tentacules qui s’est tissé à travers tous les services de sécurité et l’administration… Et ce qui m’impressionnait jusqu’à ce jour c’est que ces brigands sont respectés d’un respect complice par toute l’administration. Ainsi donc, dans cette période de prohibition qui dure toujours, les jeunes ont choisis comme lieu de rencontres arrosées Ain Fatha tout en en chassant les premiers locataires, vers d’autres lieux pas cléments du tout qui ont fini malheureusement par mourir dans des conditions indescriptibles. Ces malheureux ont connu dans leur majorité des fins tragiques après une vie des plus dures et misérable, qui l’un dans une chute d’une falaise dans le bois de la ville, appelé le ’’vieux’’, c’est l’un des frères Kaouati ou cet autre brulé vif d’un feu non maitrisé d’amas de détritus dans le jardin public dont le foyer était un simple feu pour se réchauffer du froid glacial de l’hiver, c’était le sort de Bizza ou tout bêtement un autre, mort assassiné dans une dispute anodine dans ce lieu qu’on appelait la « ferraille ».
Ainsi donc Ain Fatha devint synonyme de lieu de retrait de ces jeunes à consommer du vin rouge. Le vin rouge, car dans les bars, il y avait surtout de la bière qui était la plus prisée et cette image des cageots entassés aux tables des consommateurs, afin de faire le décompte une fois le beuverie achevée me reste toujours gravée en mémoire.. Le vin rouge qui est connu pour être consommé au moment des repas devint un vin pour cuite et souvent il était ‘’coupé’’ ‘’El Gatâa’’ comme ils disaient, par quelque misérables olives. Le vin était apprécié surtout pour son prix par rapport aux bières si on fait du calcul sur la base du taux d’alcool. Mais ce qui nous intéressaient pour nous, enfants, c’était le vide, c’est-à-dire la bouteille vide… Chaque matin on faisait le tour des coins de beuveries pour faire la collecte de bouteilles vides et les revendre à Noune à 0.50 DA l’une. C’était un vrai pactole pour nous comme argent de poche.
Ces jeunes ont fini malheureusement à l’alcool à bruler eux aussi poursuivant le chemins des anciens locataires de la source…et pire encore, par la suite quand l’alcool à bruler a été interdit au commerce suite à la cécité totale de 18 jeunes à Sfisef après avoir consommé un alcool mal dosé ou frelaté, ils commencèrent à consommer tout simplement du parfum et toute autre boisson qui contient de l’éthanol à profusion.
L’Oued Oukrif:
Ain Fetha jaillit à un point situé à même distance entre les deux pont de l’Oued Oukrif. En fait il s’agit de deux ponceaux. L’un en amont à partir de la ferme Bagrati, juste au niveau de la piscine municipale et l’autre à l’aval tout juste près de l’ancienne mosquée. La partie supérieure longeait la muraille Est de la redoute jusqu’au escalier du bain maure, en passant par la décharge publique de la ville et continuant en longeant tout le quartier Derb complètement détruit aujourd’hui sauf la rue qui lui donne son nom.
L’oued Oukrif dont la dénomination provient probablement des bovins élevés par les famille Saadou et Mechri qui avaient leur maisons sur le versant Est du Oued donne plutôt une sorte de petite vallée dont le lit d’oued était à caractère temporaire si ce n’est ce filet d’eau qui coulait à partir de la source Ain Fatha et qui se perdait tout juste au niveau du pont du quartier Boudia. Et je n’ai jamais su où finissait l’écoulement de ce filet car au-delà du pont et à l’aval, la petite vallée continuait pour déboucher sur la légendaire Tahtaha des halkates… Ce n’est que plus tard que j’ai su qu’il l’eau était collecté dans un canal souterrain de forme ovoïde de plus de deux mètres de diamètre qui traverse tout le quartier Lamarine. Au-delà et à l’amont du pont de la piscine l’oued continuait en montant jusqu’à la source dite Ain Bent Sultane. Mais il ne drainait pas cette eau en temps sec car celle-ci se répandait sur une grande surface dès son jaillissement dans le voisinage et s’infiltrait dans le sol tout en constituant un semblant d’étang ou marais où cette plante odorante, le ‘ fliou ’, la menthe pouliot qui poussait toute seule. Le ‘’ fliou ‘’, remplaçait parfois la menthe dans le thé en été. Mais au temps des saisons d’orage, l’oued paraissant sec ou presque en temps régulier, se transformait en un véritable courant charriant tout sur son passage et inondait parfois les habitations se situant au niveau du pont et au pied du quartier Boudia. Le pont n’était qu’un simple ponceau et n’arrivait pas à collecter rapidement un grand volume d’eau survenu subitement. 
Et à chaque orage, les inondations provoquées par l’Oued faisaient l’actualité de la ville. Mais avec le temps et l’extension de la ville, cet oued qui se situait presque à limite de la ville ancienne en séparant le quartier Boudia de celle-ci, devint un point noir puisque désormais il se trouva en plein centre-ville. Et ainsi commença l’aventure des administratifs dans leur tentative répétées de faire disparaitre l’Oued de la ville. Ainsi donc, l’approche que faisait les autorités afin de supprimer ce point noir était tout bêtement de faire disparaitre l’Oued lui-même c’est-à-dire cette petite vallée qu’il constituait. Une approche simpliste et biaisée dès le départ puisque elle va à contrecourant de la nature. Par définition le tracé et l’escarpement d’un oued sont le fruit de l’érosion, dû à l’écoulement de son eau. Si on fait arrêter l’écoulement de cette eau, le détourner ou le collecter par des conduites artificielles, l’oued ne serait qu’une surface à topographie accidentée qu’on peut l’aménager en différents jardins à thème et espaces de loisirs légers ne demandant pas de grosse construction.
Et pour ce, il y a eu cette extravagante idée de l’administration qui frappe par son incongruité tous les esprits. Eh oui ! tout d’un coup on a décidé de le faire disparaitre complétement du décor. Et la seule manière était dans leur esprit qui a travaillé par des raccourcis, est de le remblayer dans sa totalité.. Pas moins que cela ! Qui aurait pensé de remblayer toute une vallée. Ils y ont pensé.. Eh bien ! les décideurs administratifs de notre ville ont réussi à entamer ces travaux d’hercules dans une totale absurdité. Je dis bien entamé car cette gigantesque besogne qui a fait mobiliser tous les moyens de la ville pendant des années, n’a jamais été achevé. Impensable. Et elle ne pourrait jamais être achevé car un simple regard du profil en long de cet oued nous fait remarquer qu’il ne peut être remblayé dans sa totalité parce que tout simplement l’oued qui était dégarni de toute construction à part les ferme Saadou et Mechri, dans sa partie supérieure, et toute en descendant vers le ponceau de la mosquée, à ce point précis, le profil en travers, donne deux quartiers entiers celui de Derb et une bonne partie de Boudia mais surtout l’ancienne mosquée. Si on a démoli le quartier Derb on n’a pas pu le faire pour cette partie du quartier Boudia mais surtout l’ancienne mosquée qui est considérée comme patrimoine de la ville étant la première mosquée construite dans la ville. Tout cela était évident sur un simple coup d’œil sur un plan, et ils s’en sont aperçu qu’après des années et tant d’effort à remblayer toute la partie supérieure. Finalement l’Oued Oukrif qui pouvait être tout simplement un lieu de villégiature verdoyant avec parc de jeux et construction légères de loisir se transforma en un vrai casse-tête pour tous les administratifs qui se relayèrent dans la gestion de cette ville. Et jusqu’à aujourd’hui il demeure une tache d’huile dans la ville… IL y a eu beaucoup de tentative de le réaménager par au minimum une demi-douzaine d’études mais il y avait toujours cet handicap somme toute logique du coût de réalisation de ces travaux. Tout le problème qu’avait ces études était dans l’approche première de la conception de cet aménagement… On voulait toujours faire de la partie qui est restée non remblayée, quelque chose de grandiose étant situé en plein centre-ville, Et pourtant le bon sens dictait, et dicte toujours, de procéder par un respect environnemental à traiter les versants restants du Oued par aménagement superficiel de façon à ne rien déplacer. Les talus sont bien fixés sur place et toute intervention serait de respecter les pentes. Il y a eu une tentative de procéder de la sorte mais elle a été biaisé par une autre idées farfelue de fixer le talus en travers par un colossal ensemble de banquettes en gabion qui a fini par être abandonné pour son coup financier…Ces banquettes étaient destinées à recevoir des gradins d’un théâtre en plein air. Et les choses restèrent ainsi jusqu’à ce jour. Et en passant je dois bien noter qu’on a oublié qu’un tel volume de pierres tassées sur une conduite soit elle en béton armée allait finir par la rompre. Cette conduite posée bien avant de remblayer l’Oued dans la première opération, servait à drainer les eaux en temps d’orage. La conduite rompue, et étant à plus de 25 m ou plus sous terre, donc impossible de la réparer et suite aux différents débordement des regards cheminées qui l’aéraient, alors, en conséquence on a tout simplement réalisé une autre conduite tout en changeant carrément le tracé afin de contourner le tracé de la première qui n’était plus fonctionnelle. Et un autre cout qui s’ajoute à cette obsession de se débarrasser d’un oued qui à leurs yeux défigure le centre-ville. Et pourtant un exemple frappant est donné par les sud-coréens dans le projet du traitement de oued El Harrach dans la capitale.
Malheureusement on continue de faire la même approche dans le traitement de ce Oued qui ne l’est pas en fin de compte…Dit-on qu’on va déblayer de nouveau ce qu’on a fait des années d’effort pour le remblayer et réaliser un tunnel allant de bout en bout de l’oued. Bien sûr, le remblaiement qui était déjà une travail d’Hercule est beaucoup plus facile que de déblayer, d’autant plus après certaines années, un remblai n’est plus considéré comme un sol meuble mais plutôt de la terre ferme c’est-à-dire sol consolidé. Et pourquoi tout cela ?…Pourquoi toutes ces acrobaties qui défie toute logique. ? Bien sûr, les nouveaux travaux d’hercule sont entamé et personne vraiment personne, ne peut dire s’ils seront achevés et dès le prochain changement du premier responsable, ils seront abandonné à coup sûr à n’importe quel stade et surtout avec la disette de ces jours-ci. Et le cycle recommence.
Je m’interdis de faire de l’objection conscience pour faire appel à toutes les association de la ville et de l’écologie pour qu’elles prennent elles même en charge ce oued pour proposer selon un approche environnementale le traitement de l’oued afin de donner un nouveau poumon pour la ville et à moindre cout. Un tunnel qui s’ajoute aux deux autres n’est qu’une autre aberration. Les tunnels sont conçus en dernier ressort pour résoudre un problème de circulation automobile ou piéton sans plus. Ils n’ont ni attrait architectural ni ajout urbanistique à une ville. Ils doivent être excavé sous un lieu donné sans provoquer aucun changement petit soit-il sur la surface. Qu’en est-il de nos deux tunnels réalisé dans notre ville. Celui du En Nasr a été réalisé quand il n’a a même pas un croisement de deux rues, et ce point de l’autoroute nécessite même pas un carrefour pour puisqu’il s’agit que d’un rue qui débouche sur une autre comme il y en tout en long de cette rue à commencer de celle de Dar El Beida qui arrive tout juste après, quant à l’autre celui du CEM Medjaji, un carrefour suffirait amplement, pareil à celui situé plus loin de la maternité. 
Et puis cette idée de tunnels qui a sévi à travers tout le pays, et si dans certaines villes, et particulièrement à la capitale, ces trémies peuvent être justifiées, pour répondre à problème ponctuel et précis de circulation, il n’en est pas de même pour la plupart. Un ville comme la nôtre n’est pas du tout propice à de telle solution pour les problèmes de la circulation. Une trémie est décidée quand il y a un carrefour qui dessert un minimum de cinq directions dont la signalisation horizontale et verticale n’apporte aucune amélioration. Une circulation verticale comme les feux tricolores peuvent apporter de grand soulagement à la circulation automobile.. 
Même si on suppose que le dernier aménagement de l’Oued Oukrif a eu l’aval de tous les services, et une partie de la population et ce qui loin d’être le cas selon les échos qui circulent dans la ville, même si on fait miroiter le projet par un soit disant parking à étages, qui donne la garantie que son exécution soit arrivé à terme. À bon entendeur salut !

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